Paroles d'un elfe à son fils .

L’ordre retentit comme un coup de tonnerre :
“Préparez les carreaux”
La baliste avait été positionnée au sommet d’une colinne . Ses servants la préparaient en positions “tir multiple” . Depuis l’aube mes fréres elfes s’afféraient à positionner les machines de guerres et à graisser les jointures de nos armures en Ithilmar . Le déploiement tactique de nos troupes prenait forme alors qu’au loin le bruit sourd des pas nains se faisait entendre . Lorsque nous apercumes les rangs nains, nous riions aux éclats alors que quelques malheureux bataillon se formait devant nous .
Notre chef Imaldrik criait ses ordres de formations et lorsqu’il eut finit, il leva Ivildriim, son épée, haut dans le ciel . Il l’abaissa d’un coup sec et la cavalerie se mit à avancer de plus en plus vite . Les régiments tels les maîtres des épées et les gardes phenix, avancaient eux aussi, bien que moins rapidement .
C’est alors que sortirent de la forêt, dérriere les lignes naines, plusieurs engins bizarre . Parmis eux un objet volant, pétardant, faisant un bruit d’enfer . Celui arriva bien vite jusqu’a nos troupes, mais avant que nous puissions donnez l’ordre d’abattre une salve de tir sur cette machine, celle-ci cracha d’un petit tube fixé a l’avant, une salve de petits objets qui décimérent notre bataillon de lions blancs .
Nous n’en revinrent pas, et c’est à ce moment précis que l’ennemis fit tirer ces machines de guerres .
Elles dechiqueterent, tuérent ecrasérent une majeure partie de notre cavalerie ainsi que quelques lanciers .
Rouge de colére, Imaldrik, donna l’ordre aux archers et aux balistes meurtriéres de tirer . Notre tir tua des pelleters de nains, mais ceux-ci répondirent par une salve de tir coordonnées qui décimerent autant des notres . C’est alors que le sol trembla sous nos pas, et sortirent tout d’un coup des nains drolement équipés . Il sortirent donc et une drole de machine, dont j’appris plus tard qu’elle s’appelait “foreuse à vapeur”, broya un mage qui se trouvait juste au-dessus du point de sortie . Nous combatimes vaillament avant de détaler dans un desordre gigantesque . Notre armée décimée éra des jours dans les montagnes glacée avant de trouver un port elfique ou des bateaux était en partance pour l’Ulthuan .
Si je te raconte cela aujourd’hui, mon fils, c’est pour te dire de ne jamais sous-estimer le peuple nain .
Ne jamais les offenser ou les blesser . Les nains sont fiére et riche . Nous sommes désépéré et appauvri, c’est pourquoi je te demande de retisser des liens amicaux avec les nains .

Discour d’un elfe à son fils

Citation :

L’ordre retentit comme un coup de tonnerre :
“Préparez les carreaux”
La baliste avait été positionnée au sommet d’une colline. Ses servants la préparaient en positions “tir multiple”. Depuis l’aube mes frères elfes s’afféraient à positionner les machines de guerres et à graisser les jointures de nos armures en Ithilmar. Le déploiement tactique de nos troupes prenait forme alors qu’au loin le bruit sourd des pas nains se faisait entendre. Lorsque nous aperçûmes les rangs nains, nous riions aux éclats alors que quelques malheureux bataillons se formaient devant nous.
Notre chef Imaldrik criait ses ordres de formations et lorsqu’il eut finit, il leva Ivildriim, son épée, haut dans le ciel. Il l’abaissa d’un coup sec et la cavalerie se mit à avancer de plus en plus vite. Les régiments tels les maîtres des épées et les gardes phénix, avançaient eux aussi, bien que moins rapidement.
C’est alors que sortirent de la forêt, derrière les lignes naines, plusieurs engins bizarres. Parmi eux un objet volant, pétardant, faisant un bruit d’enfer. Celui-ci arriva bien vite jusqu’a nos troupes, mais avant que nous puissions donnez l’ordre d’abattre une salve de tir sur cette machine, celle-ci cracha d’un petit tube fixé a l’avant, une salve de petits objets qui décimèrent notre bataillon de lions blancs.
Nous n’en revinrent pas, et c’est à ce moment précis que l’ennemi fit tirer ses machines de guerres.
Elles déchiquetèrent, tuèrent, écrasèrent une majeure partie de notre cavalerie ainsi que quelques lanciers.
Rouge de colère, Imaldrik, donna l’ordre aux archers et aux balistes meurtrières de tirer. Notre tir tua des pelletiers de nains, mais ceux-ci répondirent par une salve de tir coordonnée qui décimèrent autant des nôtres. C’est alors que le sol trembla sous nos pas, et sortirent tout d’un coup des nains drôlement équipés. Ils sortirent donc et une drôle de machine, dont j’appris plus tard qu’elle s’appelait “foreuse à vapeur”, broya un mage qui se trouvait juste au-dessus du point de sortie. Nous combattîmes vaillamment avant de détaler dans un désordre gigantesque. Notre armée décimée erra des jours dans les montagnes glacées avant de trouver un port elfique ou des bateaux était en partance pour l’Ulthuan.
Si je te raconte cela aujourd’hui, mon fils, c’est pour te dire de ne jamais sous-estimer le peuple nain.
Ne jamais les offenser ou les blesser. Les nains sont fiers et riches. Nous sommes désespérés et appauvris, c’est pourquoi je te demande de retisser des liens amicaux avec les nains.

Discours d’un elfe à son fils.

Après un passage dans Word pour les fautes. Très beau texte! J'aime bien la partie "broyage de mage", je vois ça en image ...

Ca n'insiterait pas à une re-entente entre les deux peuples? L'espoir est vain, les Nains n'ont pas oublié la grande guerre...

Très beau texte encore une fois!

Oh non ! Je ne veux pas retisser de liens avec les elfes et d'ailleurs je l'ai d'ailleurs mis dans ma présentations . Merci sinon d'avoir corrigé les fautes car je n'ai pas eu beaucoup de temps pour dévelloper le texte .

Très joli texte. Mais les elfes peuvent encors atendre pour une re-alliance avec les nains. L'orgueil même de leurs race d'oreille pointues l'interdit, et notre mémoire le fait de même.

Mais si une alliance arrivait... l'âge d'or....

Baste ! les elfes sont des Vazog !

excellent texte a en pleurer de joie quand les elfes meurent

Merci au vénérable Thormin pour sa relecture... je me permets de la rerelire (comme dit un skaven lettré de mes amis).

Citation :

L’ordre retentit comme un coup de tonnerre :
“Préparez les carreaux”
La baliste avait été positionnée au sommet d’une colline. Ses servants la préparaient en position “tir multiple”. Depuis l’aube mes frères elfes s’affairaient à positionner les machines de guerres et à graisser les jointures de nos armures en Ithilmar. Le déploiement tactique de nos troupes prenait forme alors qu’au loin le bruit sourd des pas nains se faisait entendre. Lorsque nous aperçûmes les rangs nains, nous rîmes aux éclats alors que quelques malheureux bataillons se formaient devant nous.
Notre chef Imaldrik criait ses ordres de formations et lorsqu’il eut finit, il leva Ivildriim, son épée, haut dans le ciel. Il l’abaissa d’un coup sec et la cavalerie se mit à avancer de plus en plus vite. Les régiments tels les maîtres des épées et les gardes phénix, avançaient eux aussi, bien que moins rapidement.
C’est alors que sortirent de la forêt, derrière les lignes naines, plusieurs engins bizarres. Parmi eux un objet volant, pétaradant, faisant un bruit d’enfer. Celui-ci arriva bien vite jusqu'à nos troupes, mais avant que nous puissions donner l’ordre de tirer une salve sur cette machine, celle-ci cracha d’un petit tube fixé à l’avant, une salve de petits objets qui décimèrent notre bataillon de lions blancs.
Nous n’en revinrent pas, et c’est à ce moment précis que l’ennemi fit tirer ses machines de guerres.
Elles déchiquetèrent, tuèrent, écrasèrent la majeure partie de notre cavalerie ainsi que quelques lanciers.
Rouge de colère, Imaldrik, donna l’ordre aux archers et aux balistes meurtrières de tirer. Notre tir tua des pelletés de nains, mais ceux-ci répondirent par une salve de tir coordonnée qui décima autant des nôtres. C’est alors que le sol trembla sous nos pas, et qu'en sortirent tout d’un coup des nains drôlement équipés. Ils sortirent donc et une drôle de machine, dont j’appris plus tard qu’elle s’appelait “foreuse à vapeur”, broya un mage qui se trouvait juste au-dessus du point de sortie. Nous combattîmes vaillamment avant de détaler dans un désordre gigantesque. Notre armée décimée erra des jours dans les montagnes glacées avant de trouver un port elfique où des bateaux était en partance pour l’Ulthuan.
Si je te raconte cela aujourd’hui, mon fils, c’est pour te dire de ne jamais sous-estimer le peuple nain.
Ne jamais les offenser ou les blesser. Les nains sont fiers et riches. Nous sommes désespérés et appauvris, c’est pourquoi je te demande de retisser des liens amicaux avec les nains.

Discours d’un elfe à son fils.

Je me permets d'être moins enthousiaste que mes confrères, pour l'orthographe, la grammaire, les répétitions, le style, et le langage pas homogène. Donc bon je trouve pas ça spécialement très joli (mes excuses mais bon je préfère être honnête).

Bon soyons franc.
Je plussoi le dernier commentaire mais je soulève une objection sur le thème même de ce texte.
Un elfe de parle pas de façons répétitif comme tu le fait et sache que les elfes ne desespèrent pas en ne sont pas pauvres.
Conclusion: Ce texte n'a aucun intérêt et jure énormément avec le fluff officielle de GW j'usque dans le style même des elfes.

Désolé d'être rude, mais il y a une limite......

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